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Pépère le chat du poète. Suite.

#1
Le brigadier, s'était un peu perdu sur la route qui menait à Mornay. Bien que celle-ci était toute droite, il ne savait plus où il en était. Il s'arrêta pour reprendre ses esprits et il crut entendre le son d'une trompette.
- Hé, bien, c'est complet l'autre salopard là-haut qui joue de la trompette. D'habitude, l'animal fait plutôt du tapage de bec. Il faudrait sûrement que je consulte un crânier pour qu'il me fasse une radio du pivert.
Le son se faisait de plus en plus distinct et le brigadier se boucha les oreilles. Il n'y avait plus de bruit, donc ce n'était pas l'oiseau de cervelle qui faisait sa sérénade. Il ouvrit la vitre de sa voiture et en prit pour son grade. Derrière la porte un militaire qui jouait de la trompette. Quand celui-ci le vit, il s'arrêta et lui dit clairement.
- Ici, le général des armées, Enrique Picolle, je vous donne l'ordre en vertu des pouvoirs qui sont les miens de me dire où sont vos quartiers. Je dois absolument avoir accès à la salle de contrôle où se trouve le bouton rouge.
- Ici, le brigadier Tatouvu et les capsules rouges sont sur les bouteilles de villageoise, mon général.
- Bon, ce n'est pas grave pour vous, dites moi où sont ses villageoises qui tiennent la salle d'opération que j'aille leur ordonner d'appuyer sur le bouton rouge.
- Vous n'allez pas bien, mon général, la villageoise est dans le coffre de la Dacia. Là, je suis en mission et je dois aller aider les Américains qui sont aux prises de dangereux extraterrestres aux pieds jaunes qui lancent des lasers.
- Très bien, laisser donc cette personne dans le coffre et emmené moi vers ces Americains, je suis leur chef suprême, je reçois mes ordres de la maison blanche. D'ailleurs, regardez, voyez, c'est mon frère ;
Le général montrait au brigadier la photo d'un peintre sur son téléphone.
- C'est lui qui l'a repeinte en blanc l'été dernier, grâce à mes appuis auprès de Donald Tromp. Ces Américains sont désormais sous mon commandement.
L'homme monta dans la voiture du brigadier et se mit à faire de la trompette, sous la surprise de ce qu'il faisait, le brigadier se boucha les oreilles et lâcha le volant. Le général était hors de lui.
- Brigadier, reprenez-moi ce volant, ce que vous faites est un crime. Étant délégué de Donald Tromp, j'ai les pouvoirs de vous condamner à la chaise électrique où à deux cent cinquante ans de prison, alors ne recommencer plus.
- Oui, mon général, vous pouvez jouer, vous êtes un très bon musicien.
- Très bon, quel outrage, n'oubliez pas, la chaise ou la prison. Un très bon musicien, arrête, je suis le meilleur au monde et j'ai déjà enregistré et je suis plus de cinq cent fois disque de platine et le trompettiste officiel de monsieur Macron.
Le brigadier continua sa route en claquant des dents, il ne savait plus comment dire ni quoi dire.
Les Américains l'accueillir avec des hourras et le général descendit le premier en disant au brigadier qu'il les accumulait, car il aurait dû lui ouvrir la porte étant donné qu'il était son supérieur.
Dans la cabane, Cookie se reposait, du moins elle essayait, car, Bibou et Chatdore n'arrêtaient pas de raconter des histoires totalement dénuées de sens à ses oreilles.
Sybage, qui n'avait plus de nouvelles de son cousin, était répartie en direction de chez elle. Régulièrement, elle consultait les SMS de son chatmoureux.
Ainos qui était au bout de la rue du poète était aussi rentrée chez elle. Par la fenêtre, elle vit le Pépère à l'arrêt et Coin-coin qui courrait sur la route comme si on l'avait oublié plus haut.
Dans le champ, Bibou était fier d'être le coéquipier de Pépère et voulu raconter sa rencontre avec lui.
- Tu, es son coéquipier depuis longtemps ?
- Hé bien oui, mais comme mes maîtres avaient déménagé, je l'avais perdu de vue. J'ai été abandonné le long de la route et ne sachant que faire, j'envoie un message à Pépère. Oui, j'avais gardé son numéro et on se parlait par messages régulièrement. Là, il m'apprit qu'il était dans le secteur où j'étais précisément. C'est ainsi, que je fis la circulation étant donné que je suis un chien agent policier. Le pauvre Pépère avait été victime la veille de deux accidents. Déjà, il s'était rentré une poutre dans la patte. C'est en sautant en parachute d'une soucoupe volante de quatre mille mètres d'altitude. À quelques mètres du sol, il a été obligé d'éternuer et s'étant retrouvé déséquilibré, il n'ait pas arrivé à contrôler son parachute et il est tombé sur une poutre devant la cabane du Poète en face de Lolo, qui pourra te confirmer l'histoire. Il avait été enlevé par des Martiens et les a neutralisés à coup de moustache avant de se faire un parachute avec un sac-poubelle qu'il avait trouvé dans la soucoupe. En tombant dans le vide, un morceau de nuage lui était entré dans le nez. Mon maître, qui à l'époque ne l'était pas, appelé un vermicelle, où je ne sais quoi qui lui a dit qu'il se mouchait du colza. C'est ainsi qu'il s'est retrouvé chez le tortionnaire où j'ai été emmené. Nous sommes arrivé à nous échapper du vermicelle alcoolique et on est revenu ici. Pépère à arraché lui-même le morceau de coton de son nez avec la corne d'un taureau de quatre tonnes qu'il a terrassé devant moi à coup de queue, voilà mon copain.
- C'est, génial cette retrouvaille, moi aussi, j'ai terrassé un buffle de six tonnes en face.
Pour Cookie qui était derrière la cloison, s'en fut trop et elle sortit devant Chatdore.
- Tu n'as rien fait de tout ça, hiiii, chat drogué, hiii, tu as fumé des champignons, hiii, chat psychopathe, hiiii.
Coin-coin était remonté à l'arrière de la voiture et Pêcheur auscultait ses plumes.
- Toc toc toc, tu n'as pas de fracture des plumes, toc toc toc, tu n'auras pas besoin d'aller chez le plumetier, toc toc toc.
- Fle fle fle, j'ai eu très peur, fle fle fle, fait attention Pépère, fle fle fle.
- Allons à Sancoins maintenant, vas-y doucement Pépère.
-Oui, Lolo ne t'inquiète pas.
- Je serais lui, moi, je m'inquiéterais.
- On ne t'a rien demandé la soûlarde, non mais c'est moi le héros ici.
- Fle fle fle, c'est ma gendarme, poète, je t'aime, ma gendarme poète, fle fle fle.
- Moi aussi, je t'aime mon fle fle, bisou sur ton bec.
- Chérie, je suis en train d'écrire, je te réponds après.
- Oui, occupe-toi de ta vinasse et de décoincer le soûlard du funiculaire qu'il écrive mes aventures qu'elles sont vraies réelles, pas fausses et authentifiées par l'huissier de la vérité vraie.
- J'ai une information très urgente à te dire.
- Ça va bientôt finir dixit Pépè...
- J'ai posé le stylo, c'est bon.
- Tu te souviens de l'air que Pépère chantait tout le temps.
- Oui, le président l'a chanté dans l'histoire il y a deux jours pourquoi chérie ?
- Hé bien, figure toi que le titre est disque d'or.
- Ha bon le fameux, chat chat...
- Chat chat où t'es, mais où est-ce que tu as mis ton chat chat, chat chat où t'es...
- Attends, je reprends le stylo pour lui dire.
- Oui, chéri, je te laisse écrire.
- Pépère, j'ai une bonne nouvelle à t'apprendre.
- Oui, tu ferais mieux de me faire repartir vers Sancoins, soûlard. Pose moi cette bouteille de limonade qui est de la vodka.
- Pépère, ton titre chat chat est disque d'or. Six cent mille disques vendus.
-Oui, Lolo ne t'inquiète pas. Vous avez entendu les amis. Pépère est assurément le meilleur.
- Oui, tu vois Pépère aucune raison de s'énerver, chat chat où t'es, mais où as tu mis ton chat chat.
- Isidore, le citadin...
- Whouaf tu es mon whouaf et quand j'te whouaf je fais whouaf whouaf tu es mon whouaf.
- fle fle, où t'es, mais où est-ce que tu as mis ton toc toc, fle fle où t'es, mais où est-ce que tu as mis ton bec. Fle fle, où t'es, tu es le meilleur...
- Toc toc, où t'es, mais où est-ce que tu as mis ton fle fle. Voilà, toc toc toc, notre best of à nous...

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Cortisone

Maître Poète
#2
Le brigadier, s'était un peu perdu sur la route qui menait à Mornay. Bien que celle-ci était toute droite, il ne savait plus où il en était. Il s'arrêta pour reprendre ses esprits et il crut entendre le son d'une trompette.
- Hé, bien, c'est complet l'autre salopard là-haut qui joue de la trompette. D'habitude, l'animal fait plutôt du tapage de bec. Il faudrait sûrement que je consulte un crânier pour qu'il me fasse une radio du pivert.
Le son se faisait de plus en plus distinct et le brigadier se boucha les oreilles. Il n'y avait plus de bruit, donc ce n'était pas l'oiseau de cervelle qui faisait sa sérénade. Il ouvrit la vitre de sa voiture et en prit pour son grade. Derrière la porte un militaire qui jouait de la trompette. Quand celui-ci le vit, il s'arrêta et lui dit clairement.
- Ici, le général des armées, Enrique Picolle, je vous donne l'ordre en vertu des pouvoirs qui sont les miens de me dire où sont vos quartiers. Je dois absolument avoir accès à la salle de contrôle où se trouve le bouton rouge.
- Ici, le brigadier Tatouvu et les capsules rouges sont sur les bouteilles de villageoise, mon général.
- Bon, ce n'est pas grave pour vous, dites moi où sont ses villageoises qui tiennent la salle d'opération que j'aille leur ordonner d'appuyer sur le bouton rouge.
- Vous n'allez pas bien, mon général, la villageoise est dans le coffre de la Dacia. Là, je suis en mission et je dois aller aider les Américains qui sont aux prises de dangereux extraterrestres aux pieds jaunes qui lancent des lasers.
- Très bien, laisser donc cette personne dans le coffre et emmené moi vers ces Americains, je suis leur chef suprême, je reçois mes ordres de la maison blanche. D'ailleurs, regardez, voyez, c'est mon frère ;
Le général montrait au brigadier la photo d'un peintre sur son téléphone.
- C'est lui qui l'a repeinte en blanc l'été dernier, grâce à mes appuis auprès de Donald Tromp. Ces Américains sont désormais sous mon commandement.
L'homme monta dans la voiture du brigadier et se mit à faire de la trompette, sous la surprise de ce qu'il faisait, le brigadier se boucha les oreilles et lâcha le volant. Le général était hors de lui.
- Brigadier, reprenez-moi ce volant, ce que vous faites est un crime. Étant délégué de Donald Tromp, j'ai les pouvoirs de vous condamner à la chaise électrique où à deux cent cinquante ans de prison, alors ne recommencer plus.
- Oui, mon général, vous pouvez jouer, vous êtes un très bon musicien.
- Très bon, quel outrage, n'oubliez pas, la chaise ou la prison. Un très bon musicien, arrête, je suis le meilleur au monde et j'ai déjà enregistré et je suis plus de cinq cent fois disque de platine et le trompettiste officiel de monsieur Macron.
Le brigadier continua sa route en claquant des dents, il ne savait plus comment dire ni quoi dire.
Les Américains l'accueillir avec des hourras et le général descendit le premier en disant au brigadier qu'il les accumulait, car il aurait dû lui ouvrir la porte étant donné qu'il était son supérieur.
Dans la cabane, Cookie se reposait, du moins elle essayait, car, Bibou et Chatdore n'arrêtaient pas de raconter des histoires totalement dénuées de sens à ses oreilles.
Sybage, qui n'avait plus de nouvelles de son cousin, était répartie en direction de chez elle. Régulièrement, elle consultait les SMS de son chatmoureux.
Ainos qui était au bout de la rue du poète était aussi rentrée chez elle. Par la fenêtre, elle vit le Pépère à l'arrêt et Coin-coin qui courrait sur la route comme si on l'avait oublié plus haut.
Dans le champ, Bibou était fier d'être le coéquipier de Pépère et voulu raconter sa rencontre avec lui.
- Tu, es son coéquipier depuis longtemps ?
- Hé bien oui, mais comme mes maîtres avaient déménagé, je l'avais perdu de vue. J'ai été abandonné le long de la route et ne sachant que faire, j'envoie un message à Pépère. Oui, j'avais gardé son numéro et on se parlait par messages régulièrement. Là, il m'apprit qu'il était dans le secteur où j'étais précisément. C'est ainsi, que je fis la circulation étant donné que je suis un chien agent policier. Le pauvre Pépère avait été victime la veille de deux accidents. Déjà, il s'était rentré une poutre dans la patte. C'est en sautant en parachute d'une soucoupe volante de quatre mille mètres d'altitude. À quelques mètres du sol, il a été obligé d'éternuer et s'étant retrouvé déséquilibré, il n'ait pas arrivé à contrôler son parachute et il est tombé sur une poutre devant la cabane du Poète en face de Lolo, qui pourra te confirmer l'histoire. Il avait été enlevé par des Martiens et les a neutralisés à coup de moustache avant de se faire un parachute avec un sac-poubelle qu'il avait trouvé dans la soucoupe. En tombant dans le vide, un morceau de nuage lui était entré dans le nez. Mon maître, qui à l'époque ne l'était pas, appelé un vermicelle, où je ne sais quoi qui lui a dit qu'il se mouchait du colza. C'est ainsi qu'il s'est retrouvé chez le tortionnaire où j'ai été emmené. Nous sommes arrivé à nous échapper du vermicelle alcoolique et on est revenu ici. Pépère à arraché lui-même le morceau de coton de son nez avec la corne d'un taureau de quatre tonnes qu'il a terrassé devant moi à coup de queue, voilà mon copain.
- C'est, génial cette retrouvaille, moi aussi, j'ai terrassé un buffle de six tonnes en face.
Pour Cookie qui était derrière la cloison, s'en fut trop et elle sortit devant Chatdore.
- Tu n'as rien fait de tout ça, hiiii, chat drogué, hiii, tu as fumé des champignons, hiii, chat psychopathe, hiiii.
Coin-coin était remonté à l'arrière de la voiture et Pêcheur auscultait ses plumes.
- Toc toc toc, tu n'as pas de fracture des plumes, toc toc toc, tu n'auras pas besoin d'aller chez le plumetier, toc toc toc.
- Fle fle fle, j'ai eu très peur, fle fle fle, fait attention Pépère, fle fle fle.
- Allons à Sancoins maintenant, vas-y doucement Pépère.
-Oui, Lolo ne t'inquiète pas.
- Je serais lui, moi, je m'inquiéterais.
- On ne t'a rien demandé la soûlarde, non mais c'est moi le héros ici.
- Fle fle fle, c'est ma gendarme, poète, je t'aime, ma gendarme poète, fle fle fle.
- Moi aussi, je t'aime mon fle fle, bisou sur ton bec.
- Chérie, je suis en train d'écrire, je te réponds après.
- Oui, occupe-toi de ta vinasse et de décoincer le soûlard du funiculaire qu'il écrive mes aventures qu'elles sont vraies réelles, pas fausses et authentifiées par l'huissier de la vérité vraie.
- J'ai une information très urgente à te dire.
- Ça va bientôt finir dixit Pépè...
- J'ai posé le stylo, c'est bon.
- Tu te souviens de l'air que Pépère chantait tout le temps.
- Oui, le président l'a chanté dans l'histoire il y a deux jours pourquoi chérie ?
- Hé bien, figure toi que le titre est disque d'or.
- Ha bon le fameux, chat chat...
- Chat chat où t'es, mais où est-ce que tu as mis ton chat chat, chat chat où t'es...
- Attends, je reprends le stylo pour lui dire.
- Oui, chéri, je te laisse écrire.
- Pépère, j'ai une bonne nouvelle à t'apprendre.
- Oui, tu ferais mieux de me faire repartir vers Sancoins, soûlard. Pose moi cette bouteille de limonade qui est de la vodka.
- Pépère, ton titre chat chat est disque d'or. Six cent mille disques vendus.
-Oui, Lolo ne t'inquiète pas. Vous avez entendu les amis. Pépère est assurément le meilleur.
- Oui, tu vois Pépère aucune raison de s'énerver, chat chat où t'es, mais où as tu mis ton chat chat.
- Isidore, le citadin...
- Whouaf tu es mon whouaf et quand j'te whouaf je fais whouaf whouaf tu es mon whouaf.
- fle fle, où t'es, mais où est-ce que tu as mis ton toc toc, fle fle où t'es, mais où est-ce que tu as mis ton bec. Fle fle, où t'es, tu es le meilleur...
- Toc toc, où t'es, mais où est-ce que tu as mis ton fle fle. Voilà, toc toc toc, notre best of à nous...

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J'aime bien. Un crânier un plumetier
Pas mal ce nouvel épisode. A demain pour la suite
Amicalement
Gaby